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Quentin, une vie à gauche !
26 juin 2007

Nicolas Sarkozy prêt à négocier sur l'autonomie optionnelle, la sélection en master et la composition des CA

Nicolas Sarkozy semble ouvert à la négociation sur les trois points qui posaient problème: la composition des CA, la sélection à l'entrée du master et l'autonomie optionnelle, déclarent les organisations étudiantes reçues par le président de la République, aujourd'hui mardi 26 juin 2007. Les organisations étudiantes devraient être reçues par Valérie Pécresse, ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche, dans le courant de la semaine. Voici les principales réactions.

CONFÉDÉRATION ÉTUDIANTE. "Le président nous a semblé très ouvert au dialogue. Cet accord est à portée de main mais cela nécessite de nombreuses concessions de la part du gouvernement. Nicolas Sarkozy semblait prêt à discuter sur les principaux points de blocage", déclare Julie Coudry, présidente de la Confédération étudiante.

PDE. "Nous sommes très satisfaits de reprendre à nouveau les discussions", déclare Nadine Vrignaud, présidente de PDE. "Le président nous a semblé très enclin à discuter, même sur les points les plus problématiques. Il a défendu cette réforme de façon très enjouée", ajoute-t-elle.

FAGE. "Nous ressortons abasourdis et très surpris de cette réunion. Nous avons obtenu une discussion sur les principaux points de blocage et un nouveau tour de concertation. La Fage est très satisfaite de la réouverture du dialogue. Il y a une réelle ouverture présidentielle sur le sujet. On parlait presque de l'autonomie optionnelle au passé", déclare Thiébaud Weber, président de la Fage.

UNEF. "Nous sommes satisfaits car les discussions sont rouvertes sur la sélection en master, la composition des CA et l'autonomie optionnelle, trois points majeurs qui justifient notre opposition au projet de loi. Nous restons raisonnablement optimistes mais l'Unef sera vigilante sur l'évolution du texte. Il faut une réforme de l'université, nous sommes prêts à faire des compromis, mais le gouvernement doit l'être aussi", déclare Bruno Julliard, président de l'Unef.

UNI. Olivier Vial, président de l'UNI, se dit "content et rassuré". Il relève que ses "collègues étudiants étaient plus modérés qu'au Cneser". "Le président les a convaincus", estime-t-il. Favorable à la réforme, l'Uni souligne que le débat a même été au-delà de la loi, sur d'autres sentiers comme celui des zones franches installées sur les campus.
Source AEF

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